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Découvrez pourquoi Boeing utilise le 7 et Airbus le 3 dans le nom de leurs avions

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Découvrez pourquoi Boeing utilise le 7 et Airbus le 3 dans le nom de leurs avions

Le monde de l’aviation est peuplé de chiffres et de noms mystérieux. Parmi ces énigmes, une attire particulièrement l’attention : pourquoi Boeing utilise-t-il le 7 et Airbus le 3 dans le nom de leurs avions ? Derrière cette question se cachent des histoires fascinantes, des légendes urbaines et quelques vérités peu connues. Embarquons donc pour un voyage à travers les secrets numériques des géants de l’aviation.

Les secrets numériques des géants de l’aviation

Le choix du 7 chez Boeing

Depuis les années 50, le chiffre 7 est omniprésent chez Boeing. Lorsque la compagnie décide de rebaptiser son projet « Dash-80 » en Boeing-700, elle fait plus que simplement renommer un appareil civil : elle instaure une nouvelle convention de nommage qui perdurera jusqu’à aujourd’hui. Ainsi sont nés les célèbres 707, 717, 727, et tant d’autres.

L’utilisation du chiffre 3 par Airbus

Airbus, quant à elle, a opté pour le chiffre 3 dans le nom de ses avions à hélices depuis sa création en 1972 avec l’A300. Ce choix initial faisait référence au nombre maximum de passagers que pouvait transporter cet appareil. Par la suite, chaque nouvelle famille d’appareils s’est vue attribuer une dizaine supplémentaire (A310 en 1978, a320 en 1987…).

Après avoir exploré ces conventions numériques, plongeons-nous désormais dans les symboliques cachées derrière ces choix.

La symbolique cachée derrière le 3 d’Airbus

L’évolution de la nomenclature Airbus

Airbus a su tirer parti de son chiffre fétiche pour créer une véritable logique de nommage. Ainsi, l’A380 n’a pas été choisi au hasard : en Asie, où ce gros porteur est particulièrement populaire, le chiffre 8 est considéré comme un porte-bonheur. Ce choix astucieux a permis à Airbus de conquérir le marché asiatique tout en réservant les numérotations entre A350 et A370 pour de futurs appareils de taille intermédiaire.

Les exceptions qui confirment la règle

Mais il existe quelques exceptions à cette règle. Les A318, a319 et A321 sont des anomalies dans cette nomenclature soigneusement établie. De même, l’A220 était à l’origine le CS100 de Bombardier et a été renommé après son rachat par Airbus en 2020.

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Maintenant que nous avons décrypté la symbolique du chiffre 3 chez Airbus, tournons-nous vers Boeing et son attachement au chiffre 7.

Pourquoi Boeing mise sur la magie du chiffre 7

Le sept : un chiffre universellement apprécié

Dans nombreuses cultures à travers le monde, le chiffre 7 est considéré comme particulièrement chanceux ou sacré. Boeing a probablement pris en compte cette symbolique universelle lorsqu’elle a décidé de l’intégrer dans le nom de ses avions.

La stratégie marketing derrière le choix du chiffre 7

Ce choix n’est toutefois pas uniquement basé sur la superstition. En effet, l’utilisation systématique du 7 dans la nomenclature des avions de Boeing renforce l’identité de la marque et facilite la reconnaissance de ses produits par les consommateurs.

Après avoir exploré les raisons qui se cachent derrière le choix des chiffres par ces géants de l’aérospatiale, intéressons-nous à leur impact réel sur le marché aéronautique.

L’impact des conventions de nommage sur le marché aéronautique

Une histoire d’identité de marque

Les choix de nommage ne sont pas anodins : ils contribuent à forger l’identité d’une marque, à distinguer ses produits et à influencer sa perception par le public. Par exemple, grâce au chiffre 7, les avions Boeing sont instantanément reconnaissables.

Des stratégies marketing efficaces

Airbus et Boeing ont parfaitement su jouer avec les chiffres pour attirer et fidéliser leur clientèle. Que ce soit en exploitant des superstitions locales ou en créant une convention numérique facile à mémoriser, chaque entreprise a réussi à bâtir une image forte autour de ses produits.

Toutes ces conventions et traditions qui façonnent les noms des avions ne sont pas qu’un simple jeu de chiffres.

Les traditions historiques qui façonnent les noms des avions

L’héritage du passé

Chaque convention de nommage est le reflet d’une histoire, d’un contexte et d’une volonté de marquer son temps. Par exemple, le choix initial d’Airbus pour le 3 s’explique par la capacité en passagers du premier modèle A300.

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Une tradition qui perdure

Aujourd’hui encore, ces traditions sont respectées. Même si certaines exceptions existent, elles ne font que renforcer la règle et témoignent de la richesse et de la complexité de l’histoire aéronautique.

Maintenant que nous avons exploré l’historique des conventions de nommage, examinons comment elles sont passées du stade de superstitions à celui de véritables stratégies commerciales.

De la superstition à la stratégie : comprendre les choix d’Airbus et Boeing

La superstition comme point de départ

Ces conventions ont parfois commencé comme simples superstitions ou préférences personnelles. Cependant, à mesure que leur impact sur le marché est devenu tangible, elles se sont transformées en véritables outils marketing.

Des stratégies basées sur des croyances culturelles

Airbus et Boeing ont habilement utilisé ces croyances pour créer une identité forte autour de leurs produits. Par exemple, en optant pour le chiffre 8 avec l’A380, airbus a su cibler efficacement le marché asiatique où ce chiffre est considéré comme un porte-bonheur.

Peu importe si les choix de Boeing et d’Airbus sont le fruit de la superstition, de la stratégie ou d’un peu des deux. Ce qui compte, c’est qu’ils ont su créer une identité unique pour leurs avions qui perdure aujourd’hui. Alors, la prochaine fois que vous embarquerez à bord d’un 737 ou d’un A320, souvenez-vous : derrière ces noms se cachent des histoires fascinantes et des stratégies bien pensées.

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Thomas Hajjar
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